Energy Observer
Back to work for Media Fixer!
We are looking forward to a busy start to the year with several audiovisual projects that we are passionate about. We will be traveling to Guatemala to try to understand the sacred Mayan rites at the foot of the volcanoes. Then, we will discover Panama through its trains and other unusual rail vehicles…
But first, the Energy Observer project has been occupying most of our time for almost two months now.
What is Energy Observer?
Energy Observer is the first hydrogen-powered vessel to circumnavigate the world. It is developed in collaboration with the engineers of CEA-Liten. The objective of the vessel is to test and demonstrate the efficiency of a complete energy production chain based on the coupling of different renewable energies. After its launch, the vessel set off on a six-year world tour to optimize its technologies and promote sustainable solutions for the energy transition. It was appointed the first ambassador for the Sustainable Development Goals by the French Ministry of Ecological and Solidarity Transition. It was launched in April 2017.
Energy Observer, c’est aussi une Odyssée autour du monde, pour découvrir des solutions innovantes pour l’environnement. 6 ans, 50 pays et 101 escales, pour partir à la rencontre de tous ceux qui dessinent aujourd’hui, le monde de demain, pour prouver qu’un monde plus propre est possible.
Plus qu’un bateau, un véritable média au service d’une information positive et inspirante, au service des solutions.
Au cours de ses escales, l’équipage d’Energy Observer part à la rencontre de solutions concrètes pour la transition écologique afin de produire des contenus audiovisuels. Lors de certaines escales, le navire est accompagné par un village événementiel gratuit et destiné à l’accueil du public, pour le sensibiliser au changement climatique, pour expliquer les technologies embarquées, et diffuser les contenus documentaires réalisés pendant l’expédition.
Et Media Fixer dans tout ça ?
Parmi toutes ces rencontres, nous donnerons la parole à une infime partie de la population mondiale, peu visible et pourtant si inspirante sur les sujets environnementaux : les communautés indigènes. Pourquoi ?… les civilisations modernes placent systématiquement l’Homme au sommet d’une pyramide. Tel un demi-dieu, il aurait le pouvoir sur tout ce qui existe sur la planète Terre dont le seul et unique but est de le servir. Nous considérons la nature et ses ressources comme un dû et nous sommes prêts à en extraire le moindre caillou, à brûler toutes les forêts du monde et vider les océans pour assouvir notre soif insatiable d’expansion et de progrès. Nous en payons aujourd’hui très largement les conséquences.
Les populations indigènes, bien au contraire, placent l’Homme à égalité avec tout ce qui les entoure. Ils ne sont qu’un élément parmi tant d’autres et tous ces éléments interagissent pour former une symbiose. La nature leur donne des ressources pour se nourrir, construire ou s’habiller, mais en retour, ils se doivent de la respecter, de la protéger, et surtout de ne pas la surexploiter.
C’est justement cette place de l’Homme que nous devons absolument redéfinir qui nous intéresse en rencontrant ces populations indigènes. Nous irons donc en rencontrer une des plus emblématiques actuellement pour sa vision du monde : les Kogis de la Sierra Nevada de Santa Marta en Colombie.